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Ils ouvrent un chemin Qu’on ne prendra qu’une fois

Il est parti dans un murmure,
Elle est montée sans crier gare,
Au paradis des âmes sans armures.
Ici nous reste le brouillard

Ils ont troqué leurs ires
Agoniques contre un sourire
Figé : on meurt comme on nait
Pas toujours en beauté

Ils ont lâché les mains
Qui retenaient leurs pas
Ils ouvrent un chemin
Qu’on ne prendra qu’une fois

Que sait-on de ce rien,
De ce tout
De cet “avant le rien”
De cet “après le tout”?

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